Liberté, technologie et collègues sympas, voilà comment Lisa décrit CRANIUM. Depuis le bureau de Gand ou directement chez le client, elle travaille aujourd’hui comme consultante en protection de la vie privée sur des projets variés dans le secteur privé – avec, surprise, beaucoup de place pour la créativité.
On a discuté avec elle de son parcours, de ses motivations, et de pourquoi elle a finalement choisi CRANIUM (et pas un doctorat).
Tu as commencé via le Young Graduate Programme. Comment as-tu vécu le passage d’étudiante à consultante ?
Le programme m’a vraiment permis de grandir à mon rythme. Tu commences avec des formations; tu te sens encore un peu étudiante –, puis tu fais un stage, et ensuite tu démarres tes premiers vrais projets.
Ce que j’ai beaucoup apprécié aussi, c’est de commencer en groupe. Tu n’es pas « la nouvelle », tu es entourée de gens qui vivent les mêmes étapes. Ça rassure, surtout au début.
Qu’est-ce que tu retiens le plus de ce programme ?
La diversité. On reçoit des formations pratiques, par exemple sur le RGPD, mais aussi sur les soft skills : gérer différents types de profils, apprendre à présenter, créer des slides… Cette approche globale fait vraiment grandir rapidement. Je m’en sers encore aujourd’hui.
Et ça se reflète déjà dans tes projets actuels ?
Oui, clairement. Je travaille surtout pour des clients privés – des PME aux multinationales. C’est très varié, et c’est ça qui est chouette.
Chez un client international dans l’immobilier, j’ai même des missions plus créatives, comme produire des vidéos explicatives sur les politiques internes. J’utilise des outils qui me permettent de m’exprimer de façon visuelle. C’est motivant, comme DPO, de rendre l’info plus accessible.
Rien d’ennuyeux là-dedans ! Tu ressens parfois les clichés sur le métier ?
Oui, ils existent. Et parfois, c’est un peu vrai : tu passes ta journée à écrire des politiques. Mais tout dépend de comment toi tu t’appropries tes projets. Il y a moyen d’apporter une touche créative : posters, vidéos, autres formats… C’est bien plus que de la théorie ou du juridique sec.
Donc tu crées ton propre job. C’est aussi vrai pour tes plans d’avenir ?
Oui. Je ne planifie pas trop à l’avance – ce n’est pas mon truc – mais je sais que je veux continuer à apprendre et à me spécialiser. Et chez CRANIUM, tu as vraiment cette liberté.
Et côté détente, après une grosse semaine ?
Très simple : je promène mon chien, je cuisine, je teste des recettes, je jardine… Et franchement ? Un peu de trash tv, parfois, ça fait juste du bien..
Et l’ambiance chez CRANIUM ?
Il y a toujours quelque chose qui se passe au siège à Zaventem, même si je suis souvent au bureau de Gand. Les events auxquels j’ai participé étaient top. C’est l’occasion de voir les collègues en vrai, pas juste à l’écran.
À Gand, on a aussi notre petite ‘squad’ qui se retrouve parfois, pour un lunch ou un afterwork. Ce côté social, ça change tout.
Pour finir : que dirais-tu à quelqu’un qui hésite à postuler chez CRANIUM ?
Fais une petite liste de ce qui est important pour toi ou pas. Moi, c’est la liberté dans l’organisation de mes projets qui a tout changé. Ici, il n’y a pas cette ambiance rigide ou distante qu’on retrouve ailleurs en consultance.
J’hésitais entre faire un doctorat ou démarrer chez CRANIUM. J’ai choisi ici – pour continuer à apprendre, mais sans la pression du monde académique. Et je ne regrette pas.
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